Rentrée : 5 astuces pour survivre à la rentrée des classes

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Rentrée des classes – En cette période de rentrée, tous les parents se plaignent de ne pas reconnaître leurs enfants. Qu’ils entrent en crèche, en première année de maternelle ou en primaire, les petits semblent transformés en tornade : crises, difficultés à s’endormir, pleurs intempestifs, refus de manger, fatigue, ces attitudes de retour d’école déstabilisent et épuisent même les parents les plus patients. Et ils le disent, le crient, le scandent : c’est dur ! Mais que se passe-t-il dans leur petite tête ?

5 astuces pour survivre à la rentrée !

5 astuces pour survivre à la rentrée des classes

L’enfant sort de vacances, d’un temps où le rythme était tranquille, où il passait du temps avec sa famille, à jouer, à dormir autant qu’il le voulait. Soudain tout s’arrête, dès le matin on lui demande de se presser, de ne pas traîner, de ne pas oublier ceci, de se coiffer fissa, d’écouter nos recommandations, etc.

Lorsque vos enfants rentrent de l’école, la charge émotionnelle est énorme. Il leur a fallu se contrôler toute la journée (être sage, se retenir d’aller aux toilettes, attendre que ce soit l’heure de manger car beaucoup d’écoles ont supprimé la collation, gérer les camarades pas toujours délicats, ne pas se laisser envahir par la peur, la peine de quitter les parents) et, on le sait, à leur jeune âge cela demande un effort herculéen.

Que faire pour que les soirées ne tournent pas au calvaire ?

De l’air !

Tout comme nous lorsque nous rentrons du travail, avons besoin d’une pause entre le travail et la maison pour se mettre dans « l’ambiance maison », les enfants ont besoin qu’on leur donne un peu d’air. Laissez-les respirer un peu en leur offrant un moment de liberté avec une activité qu’ils aiment tout particulièrement (jeu libre, petit détour par le parc en rentrant de l’école, petite partie de foot, retour à pieds de l’école en prenant son temps).

Conserver son empathie :

N’oubliez jamais que si c’est dur pour vous, c’est que c’est dur pour eux. Gardez cette pensée en mémoire car elle vous aidera à conserver l’empathie nécessaire pour désamorcer les conflits. Lorsqu’un enfant est « pénible » c’est que ça ne va pas. Il a, au mieux, besoin de décharger ; au pire, un souci dont il ne parvient pas à parler.

Attendre le bon moment pour discuter :

Même si la curiosité vous ronge les sangs et que vous brûlez de savoir comment s’est passé leur journée, ce qu’ils ont fait à l’école, patientez jusqu’au dîner, moment idéal de partage et de confidences, pour les questionner.

S’intéresser sans le presser :

S’intéresser à ce qu’a pu faire son enfant lors de sa journée d’école est important, cependant, veillez à ce que vos questions ne tournent pas à l’interrogatoire en règle. Échangez plutôt simplement en l’invitant à raconter sa journée et s’il ne semble pas en avoir envie relancez la conversation en racontant votre propre journée avec ce que vous avez aimé et ce qui vous a déplu, puis, lancez un simple « et toi alors, c’était comment ? Qu’est-ce que tu as aimé ? Qu’est-ce qui t’a déplu ? »

Complimenter et faire équipe :

Mettez en avant ses bons comportements en lui rappelant que vous êtes fier/fière de lui. Expliquez-lui que vous savez combien ce changement de rythme est difficile, qu’il l’est pour vous aussi et proposez-lui de trouver ensemble le moyen de faire de vos retrouvailles de fin de journée un moment agréable pour tout le monde. Il se peut que vous soyez surpris par son désir de trouver des solutions et des solutions trouvées pour ce faire !

Retrouvez également notre article sur les souvenirs de rentrée des classes
L’organisation du temps scolaire à l’école – Voir les horaires de l’école de votre enfant : cliquez ici

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